Plus de 160000 conducteurs sont en train de tester l’option Full Self Driving de Tesla. La voiture sans conducteur ne sera peut-être bientôt plus de la science-fiction. Elon Musk l’annonce d’ailleurs pour la fin de l’année.
La journée de Tesla dédiée à l’Intelligence artificielle (la Tesla AI Day) fut riche en annonces, la plus marquante étant probablement la présentation du robot Optimus, le premier en son genre pour une compagnie qui rappelle-le, fabrique normalement des automobiles. L’annonce la plus attendue concernerait la fonctionnalité qui révolutionnera en fait la voiture telle qu’on la connaît : l’Autopilot.
Cela fait des années que Tesla annonce l’arrivée d’une fonction de pilotage automobile intégrale. Dans un futur pas si lointain, nous promettons Elon Musk, on pourra totalement lâcher le volant et profiter de nos temps de trajet pour lire, jouer, ou pourquoi pas dormir. Les ingénieurs de la compagnie se sont succédés sur la scène de la conférence pour présenter les avancées de cette technologie.
Table des matières
160000 conducteurs américains et canadiens testent actuellement le pilotage automatique intégral
Le chef d’équipe pour la fonction Autopilot, Ashok Elluswamy, a révélé que 160000 conducteurs utilisent d’ores et déjà la bêta du programme Full Self Driving de la compagnie. Ce dernier est une option payante à 15000 €, qui vient en complément de l’Autopilot. Le chiffre est réellement impressionnant : plus d’une centaine de milliers de voitures sont actuellement en mesure de rouler sur les routes canadiennes et étasuniennes sans assistance humaine ! Quand on sait que l’année dernière, seuls 2000 chanceux pourraient tester cette option tant attendue, on peut dire que le programme évolue à une vitesse presque exponentielle. Comme c’est devenu la norme, ces progrès sont majoritairement attribués à l’intelligence artificielle. Les images tournées par plus d’un million de caméras embarquées sont soumises aux superordinateurs de la compagnie pour être analysées. Ces données sont ensuite partagées avec toutes les voitures de la marque à travers une mise à jour instantanée.
Visiblement très fier des progrès accomplis par ses programmeurs, le PDG de la compagnie s’est avancé à annoncer un déploiement international du FSD pour toutes les voitures de Tesla d’ici la fin de l’année. Une prédiction pour le moins optimiste lorsque l’on sait le nombre de critiques que Tesla et le programme Autopilot ont subi depuis son apparition. Par rapport à son nom par exemple, qui selon les autorités, et à juste titre, est mensonger : nombre d’accidents impliquant des propriétaires de Tesla ont été désignés. Les conducteurs pensaient vraiment qu’ils n’avaient pas besoin de surveiller la conduite de la voiture. Par ailleurs, nombre d’accidents de Tesla sont dus à de mauvaises décisions prises par le logiciel, raison pour laquelle ce dernier pourrait être interdit en Californie.
Plus de 160000 conducteurs sont en train de tester l’option Full Self Driving de Tesla. La voiture sans conducteur ne sera peut-être bientôt plus de la science-fiction. Elon Musk l’annonce d’ailleurs pour la fin de l’année.
La journée de Tesla dédiée à l’Intelligence artificielle (la Tesla AI Day) fut riche en annonces, la plus marquante étant probablement la présentation du robot Optimus, le premier en son genre pour une compagnie qui rappelle-le, fabrique normalement des automobiles. L’annonce la plus attendue concernerait la fonctionnalité qui révolutionnera en fait la voiture telle qu’on la connaît : l’Autopilot.
Cela fait des années que Tesla annonce l’arrivée d’une fonction de pilotage automobile intégrale. Dans un futur pas si lointain, nous promettons Elon Musk, on pourra totalement lâcher le volant et profiter de nos temps de trajet pour lire, jouer, ou pourquoi pas dormir. Les ingénieurs de la compagnie se sont succédés sur la scène de la conférence pour présenter les avancées de cette technologie.
160000 conducteurs américains et canadiens testent actuellement le pilotage automatique intégral
Le chef d’équipe pour la fonction Autopilot, Ashok Elluswamy, a révélé que 160000 conducteurs utilisent d’ores et déjà la bêta du programme Full Self Driving de la compagnie. Ce dernier est une option payante à 15000 €, qui vient en complément de l’Autopilot. Le chiffre est réellement impressionnant : plus d’une centaine de milliers de voitures sont actuellement en mesure de rouler sur les routes canadiennes et étasuniennes sans assistance humaine ! Quand on sait que l’année dernière, seuls 2000 chanceux pourraient tester cette option tant attendue, on peut dire que le programme évolue à une vitesse presque exponentielle. Comme c’est devenu la norme, ces progrès sont majoritairement attribués à l’intelligence artificielle. Les images tournées par plus d’un million de caméras embarquées sont soumises aux superordinateurs de la compagnie pour être analysées. Ces données sont ensuite partagées avec toutes les voitures de la marque à travers une mise à jour instantanée.
Visiblement très fier des progrès accomplis par ses programmeurs, le PDG de la compagnie s’est avancé à annoncer un déploiement international du FSD pour toutes les voitures de Tesla d’ici la fin de l’année. Une prédiction pour le moins optimiste lorsque l’on sait le nombre de critiques que Tesla et le programme Autopilot ont subi depuis son apparition. Par rapport à son nom par exemple, qui selon les autorités, et à juste titre, est mensonger : nombre d’accidents impliquant des propriétaires de Tesla ont été désignés. Les conducteurs pensaient vraiment qu’ils n’avaient pas besoin de surveiller la conduite de la voiture. Par ailleurs, nombre d’accidents de Tesla sont dus à de mauvaises décisions prises par le logiciel, raison pour laquelle ce dernier pourrait être interdit en Californie.