L’annonce était certes attendue, mais elle n’en est pas moins choquante. Mark Zuckerberg, PDG de Meta, a annoncé que sa compagnie se sépare de pas moins de 11 000 employés, soit un employé sur huit.
Marc Zuckerberg
Ce n’est un secret pour personne. Meta va mal. La faute à une conjoncture économique déduite tout d’abord, qui fait que les recettes publicitaires de Facebook sont en chute libre. Mais aussi parce que la grande œuvre de Mark Zuckerberg, le Métaverse, tarde à prendre forme et que chaque mois il creuse toujours un peu plus les pertes de la compagnie. Dans des proportions épiques, puisqu’il se murmure que jusqu’à maintenant, elle aurait perdu près de 10 milliards $ dans les chimères de son PDG.
Ce dernier déclare : « je prends la responsabilité de ces décisions et de la manière dont nous en sommes arrivés là. Je sais que c’est difficile pour tout le monde, et je suis particulièrement désolé pour ceux qui sont concernés (par ce licencié) ». Comme le veut l’autorisation de la législation du travail américaine, les employés sont ainsi licenciés sans préavis. Ils ne partent cependant pas les mains vides : en plus d’une couverture santé de 6 mois, ils auront droit à leurs congés payés, 16 semaines de paie en guise d’indemnité de départ et à deux semaines de salaire pour chaque année travaillée pour Facebook.
Table des matières
Meta se sépare d’un huitème de sa force de travail
Meta n’est pas la seule compagnie de la Silicon Valley à traverser une grosse crise. Pas plus tard que la semaine dernière, Elon Musk s’est séparé de la moitié des employés de Twitter, le réseau social qu’il a racheté pour 44 milliards $. Quelle que soit la compagnie, les motivations derrière ces licenciements massifs sont souvent les mêmes : réduire les coûtset contenter des actionnaires mécontents des résultats financiers de ces géants de la technologie.
Les services principalement touchés par ces départs forcés sont les applications vedettes de Meta : Facebook, Messenger, Instagram et WhatsApp. Sont également concernés les projets ayant un rapport avec Horizon Worlds et la réalité augmentée. Rappelons qu’il y a un an à peine, Meta se lançait dans des embauches et des investissements tous azimuts, avec le projet d’embaucher pas moins de 10 000 personnes en Europe. Le beau rêve aura fait long feu, et l’heure du retour à la réalité sonnée.
L’annonce était certes attendue, mais elle n’en est pas moins choquante. Mark Zuckerberg, PDG de Meta, a annoncé que sa compagnie se sépare de pas moins de 11 000 employés, soit un employé sur huit.
Marc Zuckerberg
Ce n’est un secret pour personne. Meta va mal. La faute à une conjoncture économique déduite tout d’abord, qui fait que les recettes publicitaires de Facebook sont en chute libre. Mais aussi parce que la grande œuvre de Mark Zuckerberg, le Métaverse, tarde à prendre forme et que chaque mois il creuse toujours un peu plus les pertes de la compagnie. Dans des proportions épiques, puisqu’il se murmure que jusqu’à maintenant, elle aurait perdu près de 10 milliards $ dans les chimères de son PDG.
Ce dernier déclare : « je prends la responsabilité de ces décisions et de la manière dont nous en sommes arrivés là. Je sais que c’est difficile pour tout le monde, et je suis particulièrement désolé pour ceux qui sont concernés (par ce licencié) ». Comme le veut l’autorisation de la législation du travail américaine, les employés sont ainsi licenciés sans préavis. Ils ne partent cependant pas les mains vides : en plus d’une couverture santé de 6 mois, ils auront droit à leurs congés payés, 16 semaines de paie en guise d’indemnité de départ et à deux semaines de salaire pour chaque année travaillée pour Facebook.
Meta se sépare d’un huitème de sa force de travail
Meta n’est pas la seule compagnie de la Silicon Valley à traverser une grosse crise. Pas plus tard que la semaine dernière, Elon Musk s’est séparé de la moitié des employés de Twitter, le réseau social qu’il a racheté pour 44 milliards $. Quelle que soit la compagnie, les motivations derrière ces licenciements massifs sont souvent les mêmes : réduire les coûtset contenter des actionnaires mécontents des résultats financiers de ces géants de la technologie.
Les services principalement touchés par ces départs forcés sont les applications vedettes de Meta : Facebook, Messenger, Instagram et WhatsApp. Sont également concernés les projets ayant un rapport avec Horizon Worlds et la réalité augmentée. Rappelons qu’il y a un an à peine, Meta se lançait dans des embauches et des investissements tous azimuts, avec le projet d’embaucher pas moins de 10 000 personnes en Europe. Le beau rêve aura fait long feu, et l’heure du retour à la réalité sonnée.